Dans les années 40, un jeune ingénieur, Wilton Dinges, décide de répondre à l’appel à projets lancé par la Navy avec une chaise résistante à l’eau, à la corrosion, au feu et aux torpilles, mais assez légère (environ 3 kilogrammes) pour être maniable. Fabriquée en aluminium recyclé, un matériau peu coûteux, elle n’était pas magnétique et ne pouvait ainsi dérégler les appareils ni attirer l’attention de radars ennemis.
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